• Ou se niche la connerie de ce prof ?

    Selon elle, dans le règlement de l'école, aucun texte ne mentionne l'interdiction de ne pas porter de soutien-gorge en cours. "Tant que rien n’est montré, et que les seins sont couverts, les filles devraient avoir le droit de ne pas porter de soutien-gorge” a-t-elle expliqué.

    Une étudiante américaine du Montana a décidé d'entrer en résistance sur la toile. Elle défend le droit de venir en cours sans soutien-gorge.

    C'est un véritable combat pour l'égalité des genres que livre Kaitlyn Juvik, une lycéenne de 18 ans, après avoir été rappelée à l'ordre par son établissement pour s’être rendue à l'école sans soutien-gorge.

    “Tant que rien n’est montré”

    Le 25 mai dernier, douche froide pour Kaitlyn. Elle est convoquée dans le bureau du prinicpal adjoint car un professeur s'est plaint de sa tenue jugée inappropriée. Un reproche qui l’a déroutée au plus haut point. En effet, depuis le début de l'année, elle se rend en cours sans soutien gorge. C'est la première fois que ce choix pleinement assumé pose problème. L’étonnement est d'autant plus grand que ce jour-là elle portait un top noir sous lequel elle avait collé des autocollants empêchant de deviner la forme de ses tétons.

    Selon elle, dans le règlement de l'école, aucun texte ne mentionne l'interdiction de ne pas porter de soutien-gorge en cours. "Tant que rien n’est montré, et que les seins sont couverts, les filles devraient avoir le droit de ne pas porter de soutien-gorge” a-t-elle expliqué.

    “The Braless Warrior”

    Elle a raconté son histoire sur la toile, selfie à l'appui, et obtenu le soutien de nombreux élèves qui jugent l'attitude du professeur ridicule. Plus de 6.000 personnes la suivent maintenant sur Facebook. Un surnom lui a même été donné, celui de “The Braless Warrior”, comprenez “la guerrière sans soutien-gorge”.

    Face à la polémique, le principal s'est défendu, sans vraiment convaincre le web. “Je ne vais pas aller vérifier si les élèves portent des sous-vêtements. Nous allons leur demander de s’habiller de façon appropriée, et si nous sentons que la tenue ne l’est pas, nous leur demanderons de se couvrir, que ce soient des garçons ou des filles”, a-t-il affirmé.

     

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