• a mediter(lecoqenboite)

    A travers ce blog, je viens vers vous  témoigner du mal et de l'injustice qu'incarne la politique de discrimination positive lorsqu’elle est basée sur des critères d’appartenance ethnique. Dernièrement,l'un de mes amis a été victime d'une discrimination à l'embauche orchestrée, en douce, par les pouvoirs publics. Ce dernier a été écarté d’une offre d’emploi s’inscrivant dans un dispositif d’aide sociale (donc financé par les deniers publics) pour la bonne et simple raison qu’il n’avait pas « un nom à consonance étrangère ».

    Auparavant, il était trop souvent considéré comme un parasite, un citoyen de seconde zone. Rmiste, bénéficiant d’un revenu sans travail du simple fait (pense une grande part de l’opinion) de sa fainéantise et de sa propension à « profiter du système », il était déjà surnuméraire à bien des égards. Désormais, il peut aussi se lamenter d’être « français de souche », et d’avoir le malheur d’appartenir à une frange de la population paria parmi les parias...    

     j’espère bien parvenir à éveiller quelques consciences sur le danger imminent qu’incarne cette façon de concevoir la justice sociale.

    Le risque pour les générations à venir ? Alimenter le communautarisme et par conséquent l’incompréhension, le racisme. Diviser encore davantage notre société en créant une nouvelle classe d’exclus, attiser l’inimitié entre les catégories de populations souffrant le plus des difficultés économiques et sociales. Bref, on brade la paix civile d’aujourd’hui au détriment de celle de demain. Est-ce bien raisonnable ?

    Au caractère explosif de cette politique vient s’ajouter le fait que son institutionnalisation n’est pas le fruit d’un débat public et encore moins d’une loi : la discrimination positive à caractère ethnique est, en plus d’être illégale, d’une impopularité telle qu’aucun homme politique ou fonctionnaire n’aurait le courage d’avouer qu’elle a lieu aujourd’hui en France.

    Dans l’histoire de mon ami, c’est la bourde d’un fonctionnaire qui a permis de mettre en exergue l’existence de ce coup de canif inavouable que les décideurs assènent lâchement au contrat social. Honte à ceux-là !

    Reformuler clairement le contrat social (ce que c’est que le « vivre ensemble ») de la société française devient urgent et cette reformulation ne saurait avoir lieu à l’insu de l’ensemble des citoyens. Etre français c’est regarder tous ensemble dans la même direction et certainement pas surfer sur la vague clientéliste…

    Merci d’avance de me lire, c'est gratuit ! N’hésitez pas non plus à y aller de votre commentaire, petit ou grand, pour ou contre ma prise de position, donnez haut et fort votre opinion !

    « pour ceux qui veulent m'impressionnerAlexandre Canet »

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